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Asƙerna Skjöldurdóttir -

Asƙerna Skjöldurdóttir
SKJALDMÖ
Asƙerna Skjöldurdóttir
Rp's : 272
Arrival : 18/02/2018
Faceclaim : Katheryn Winnick
Métier : Fermière et guerrière
Asƙerna Skjöldurdóttir - Dim 18 Fév - 1:42




  The gods will always smile on the brave women




Asƙerna Skjöldurdóttir



Mon nom est Asƙerna Skjöldurdóttir , je suis mère, fermière mais aussi guerrière pour mon peuple et je suis âgé de 25 ans. Je suis originaire de Sjaelland . Je suis mariée. Je suis rien de moins qu’une simple citoyenne. J'arbore en mon bas ventre les marques laissés par mes fils sur mon corps. Au début de la saison estival, j’ai fait graver à l’encre noir sur l’extérieur de ma cuisse la face d’un drakkar surplombant le tumulte des océans. .


Caractère

Asƙerna est un féroce guerrier pour qui la loyauté n'a que de limites ceux qu'elle chéri et protège. Elle fait preuve d'un esprit analytique hors du commun et d'une rapidité d'exécution exceptionnelle. Elle est autant capable de tuer de sang-froid que d'être profondément humaine. Elle est indéniablement fidèle au sien, ou du moins, à sa famille. Elle bafouerait sans cesse son honneur en vertu d'un être cher. Elle ne croit pas que la mort d'un homme devrait être célébrée, elle pense plutôt qu'on devrait lui faire justice et l'honorer. Même si elle est généralement réfléchie, son instinct n'est pas toujours le bon. Elle peut facilement se méprendre à écouter son cœur et à oublier la raison. On peut dire qu'elle fait parfois preuve d'impulsivité, qu’elle est têtue et qu’elle a l’orgueil d’un homme. Elle peut se vexer rapidement si on ne la prend pas au sérieux. Néanmoins, elle est très diplomate jusqu'à un certain point. Si elle n'est pas d'accord, elle le fera savoir d'une façon ou d'une autre. Elle dédie sa vie à la déesse Frigg qu’elle admire et idolâtre. Païenne, elle croit fiévreusement le dessein des dieux. À ce jour, ils lui ont toujours donné raison de porter la foi.
Anecdotes

0 – Sa mère meurt en lui donnant naissance, son père ne se remariera jamais, trop fidèle.
14 ans – Premier combat outre-mer en compagnie de son père, c’est la première fois qu’elle tue un homme.
14 ans - Elle met chaos Týldr lors d’un affrontement amical avant que les troupes reprennent la mer. Une rivalité prend naissance entre-eux, l’égo du jeune adolescent souffrant de cette défaite.  Il lui demande de le marier, mais elle refuse, toutefois, il ne recule pas devant son entêtement et finalement elle lui dit oui. Toutefois, lorsque son père trouve le jeune Tyldr entre les cuisses de sa fille unique, il le menace de le castrer, le sort de sa maison, nue, lui lance une épée et un bouclier et le convit à un combat. Si seulement il gagne, il pourra avoir la main de sa fille.  
15 ans – Mariage avec Tyldr, emménage avec Tyldr et sa sœur
16 ans – Second raid avec Tyldr sur les côtes du XYZ, elle apprend qu’elle est enceinte lors du voyage de retour.
16 ans – Naissance d’un fils Ásgeir
17 ans – Naissance d’un second fils Styrbjörn
24 ans – Tyldr décide de partir en expédition et refuse qu’elle l’accompagne. Elle lui casse le nez d’un bon coup de bouclier sur le visage, elle n’en peut plus d’être une femme au foyer. Toutefois, elle découvre qu’elle porte l’enfant de Tyldr quelque temps après son départ ce qui remet rapidement en perspective ses ambitions de guerrières.

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Je me suis retrouvée ici à cause de Odin. Je suis âgée de 25 ans et je trouve vraiment que ce forum est génial. Mon avatar est ft. Katheryn Winick. J'offre en sacrifice le code du règlement qui est The future is open trust in the gods !


You were born in blood and you will die in blood.



 Halloween











You couldn't kill me if you tried a hundred years




Histoire




La naissance d’un premier enfant est empreinte d’exaltations et de craintes. Pour un homme, voir naitre son enfant, un fils ou une fille, l’extension de son propre sang, est l’assurance qu’un héritier verra à marcher sur ses traces. Pour nos dieux, chaque vie à son prix et lorsque celle de ma mère s'achevait et que le guérisseur extirpait cette frêle petite fille de ses entrailles, mon père cria à l'injustice de ce monde.

Du plus loin que je ne me souvienne, mon père m'aura toujours rappelé que j'étais née dans le sang. J'étais née menue, à peine plus lourde qu'une livre de beurre et pourtant animée d'une force de vivre, une battante, une guerrière bénie des dieux. C'est ce qu'il répétait toujours avant que le souvenir de ma mère obscurcisse son regard. Chaque année passante, je devenais celle qu'on lui avait reprise, le ciel au fond de mes iris miroitaient cette femme que je ne connaitrais jamais. Le portrait qu'on m'en faisait n'avait rien à déplaire, ma mère avait été une femme humble, aimante et généreuse qui avait mérité sa place à Fólkvangr auprès de Freyja. Mais je n’étais pas ma mère…

Mon père, Asmund Skjöldur, fabriquait des boucliers. Par dizaine et parfois par centaine, il taillait, sciait et peignait le bois puis forgeait chaque armature, parfois, nuit et jour.  Et j’étais là, à le regarder, à soulever ces lourds disques dans l’espoir, qu’un jour, l’un d’eux serait le mien. Un jour, je tiendrais le mur de bouclier, devant l’ennemie et ces hommes, comme ces femmes, me battant pour mon peuple, pour nos dieux dans l’espoir de se voir attribué une place au banquet d’Odin.

La première fois que nous avons fait le périple pour Uppsala, je n’avais même pas toutes mes dents d’adultes. J'étais loin de comprendre le dessein que les dieux auraient pour moi et encore moins ce qu'ils attendaient de ma présence en ces lieux. Les offrandes furent données en l’espoir de voir nos prières se réaliser. Un peu vainement me disais-je, pouvions-nous vraiment se jouer de notre destin? Cela n'empêchait pas quiconque de rêver et de faire part de ses plus grandes ambitions aux dieux. Un frère demandait à se que l’on protège sa famille pendant son absence, un ami voulait voir guérir sa femme et mon père, lui, il espérait que les ventes des boucliers soient bonnes cette année.

Le combat m’intéressait plus que le mariage. Je n’étais qu’une femme que depuis peu lorsqu’enfin, on me donna la chance de prouver quelle guerrière j’allais être. Mon père me donna une armure, une épée, un de ses meilleurs boucliers. Contrairement aux autres filles de mon âge qui reluquait les hommes comme des pièces de viandes, j’étais plus passionné par ces terres lointaines dont nos ainés nous faisaient l’éloge. Loin des terres, sans repère, entouré que par l’eau, le drakkar vaguait plein voile, nuit et jour, élargissant mes horizons et ma vision de l’espace, de ces paysages qui ne cessaient de se dérouler. La terre était un étendu d’eau, de montagne s’étalent à perte de vue, bien plus grande et vaste qu’elle ne semblait l’être. Non seulement, j’appris que la vie d’un homme, ne valait pas bien plus qu’une poignée de terre.

Dès notre retour, mon père se mit à craindre le jour où je quitterais la maison. Autant, Asmund ne souhaitait pas voir sa fille unique être seule, qu’il refusait toutes ententes de mariage qu’on lui proposait. Il attendait. Il voulait donner à sa fille, la chance de porter un titre, d’hériter d’un nom et de vivre aisément. Pour les garçons du village, s’en était même devenu un jeu, à celui qui séduirait le premier la fille du fabriquant de bouclier. Le plus entêté d’eux tous se nommait Tyldr, fils de Vidarr, un jeune fermier de quelques années mon ainée. Rien ne le décourageait, même après s’être fait ignorer, butté, craché dessus et menacé à bout de tisonnier. Rien n’y faisait, il revenait, tous les jours, à la même heure, celle où mon père me laissait seule pour aller faire la sieste.
Ses avances maladroites se transformèrent en discussion et ses gestes déplacés en coup de main apprécié. Les jours de pluies, je le laissais s’éterniser dans l’avant boutique et lui offrait à diner comme à boire. Je ne me souvenais plus du moment précis où j’avais cessé de le voir comme un vil prédateur. Après ces discussions sur la mer, les raids, le combat… vint la ferme, ses parents, mes parents, sa sœur, les enfants, ceux qu’on aurait… ceux qu’il me ferait, l’amour, l’envie, la nervosité, les baisers, les paroles qui s’oublient et les corps qui s’enlacent, la douleur, le plaisir et mon père ! Qui l’avait jeté dehors, nue comme un vers, sur la grande allée, le forçant à combattre dans le plus simple appareil.

Ásgeir signifiait l’épée des dieux, il s’agissait du nom que Tyldr donna à notre premier fils. La fertilité ayant été absente pendant toute la période où je nourrissais notre enfant, l’arrivé de son cadet ne se fit que tardivement au printemps de l’année suivante. Nous n’étions pas nobles, ni pauvre, nous n’étions que de simples fermiers, mais nous avions eux la richesse d’avoir deux petits en santé. Ils étaient nés des mains de leur père, tous les deux, à la fin de la nuit, l’un au début de l’hiver et l’autre à sa fin. Ils étaient frères mais les différences leurs causeraient bien des déchirures.

J’appris en devenant mère que plus rien n’aurait plus de valeur que mes propres petits. Leurs premières années furent un vrai calvaire marqué par la fatigue, l’inquiétude et la peur. Bientôt, l’un et l’autre marchaient pieds nues dans la terre mouillée, nous rejoignaient aux champs, d’abord par curiosité puis pour nous aider. Ásgeir ressemblait à son père et il fallait le retenir de ne pas le suivre partout. Téméraire et aventurier, il ne manquait pas l’occasion de prendre des risques. Quand il eut l’âge de prendre son indépendance, on ne manquait pas de nous ramener notre fils par le fond de culotte en dépeignant avec un humour amer dans quelle merde il s’était encore mis les pieds. À l’inverse, Styrbjorn pouvait être décrit comme plus timide, carrément effrayé par son père, il n’irait jamais là où il ne pourrait plus me voir. Son cœur était tendre, d’une douceur que l’on connaissait à peu d’homme. Quoi qu’encore petit pour veiller à ses tâches lui-même, il prenait la responsabilité de s’occuper l’étable et des bêtes.

Les hivers passaient, les absences de Tyldr se multipliait et nos activités conjugales en souffraient, laissant mon ventre vide de toute vie jusqu’à dernièrement. Cette fois, les dieux s’étaient joués de nous, convaincue que le temps était venu pour moi de reprendre la mer pour le raid d’été qui venait, je m’étais violement frotté à un refus de la part de mon mari. Tyldr, par son nez fracturé, dût comprendre que cette fois serait la dernière où il me laisserait derrière. Je n’étais pas qu’une femme, qu’une fermière, qu’une bonniche de maison, le goût de l’eau saline et les vents d’outre-mer me manquaient. Toutefois, les dieux eurent envie de lui donner raison, posant en mon sein, un enfant dont la présence se fit grandissante au fil que les chauds mois d’été. Je ne pouvais qu’espérer que de revoir son père vivant, on disait partout que cette année, Thor s’était montré terriblement inclément sur les océans.

« Ton mari reviendra sauf, mais sache que son retour apportera un vent de changement sur ce village. Le premier et le dernier souffle d'un fils seront célébré, l'hiver qui viendra sera le plus froid que Skane n'ait traversé jusqu'à présent. Plusieurs mourront. Le soleil s’élèvera, mais brûlera ses mains, une douleur nouvelle, de Frigg, l'amour périra. Mais son sang, tachera le jour et de cette vulnérabilité, naîtra une guerrière, dont la réputation dépassera de loin celle de ses parents. »

Mon enfant naitra dans les pires mois de l’hiver, et les réponses que l’augure m’avait données n’avait rien de rassurantes et d’autant plus que lorsque je lui avais demandé si c’était de mes fils dont il était question, il m’avait reproché d’être trop curieuse. Maintenant, l’attente se teintait d’angoisse et mes rêves, comme cet enfant qui remuait inlassablement, me tenaient éveillés. Mon esprit vaguait au-delà du Fjord et je me retrouvais, chaque soir, à scruter la lune miroitant sur l’eau en attendant d’apercevoir au loin une voile aux couleurs de notre royaume.  





Never fight unless the odds are in your favor


 Halloween




Dernière édition par Asƙerna Skjöldurdóttir le Mer 18 Avr - 6:35, édité 1 fois
The Seer
Maître du jeu
The Seer
Rp's : 216
Arrival : 25/01/2018
Faceclaim : Who knows ?
Re: Asƙerna Skjöldurdóttir - Mer 21 Fév - 4:53




Bienvenue




Bienvenue sur Will of Gods Asƙerna Skjöldurdótti !
Très belle fiche de présentation ! J'ai hâte de lire la suite de tes aventures guerrière au bouclier. Tu es
validée !

Maintenant que ta présentation est validée, tu peux partir à l'Aventure avec un grand "A" mais pas si vite, voici quelques liens que nous te conseillons de visiter. Relations & Liens/Journal Rp/Réclamer ses points/Demande de Rp
Skeggí Stigand
DENGR
Skeggí Stigand
Rp's : 193
Arrival : 18/02/2018
Faceclaim : Jasper Pääkkönen
Métier : Chasseur
Localisation : Sjaelland
Re: Asƙerna Skjöldurdóttir - Dim 25 Fév - 21:53

Bienvenue à toi guerrière ! Puisse le sort t’être favorable. Que les dieux t'accompagne dans ta vie et que celle-ci soit remplie de bravoure, d'honneur, de triomphe et d'amour. Que ta famille soit saine et sauve et que ton mariage soit un exemple pour nous tous.
Contenu sponsorisé
Re: Asƙerna Skjöldurdóttir -

Asƙerna Skjöldurdóttir -
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